En France, après la lourde défaite des socialistes aux municipales des 23 et 30 mars 2014, le choix de Manuel Valls en tant que chef de gouvernement se voulait comme l’incarnation d’un gouvernement de combat. Au nom de la vérité, de l’efficacité et de la confiance. De parcours en discours, Valls court. Mais c’est une course qui est loin d’être gagnée.
«Mon cœur aboie et bat, mon sang est un chemin de fer sans gare qui mène à Barcelone.»
Francis Picabia
L’homme pressé de la gauche est aux postes de commande de l’exécutif, et il veut lancer des réformes allant au-delà de 2017. Pourtant rien ne sert de courir quand on ne part pas à point.
Un premier ministre très cavalier
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