Le 15 avril 2014, à la fin de sa septième législature, le Parlement Européen a voté trois lois entérinant l’union bancaire. Ces lois constituent la première étape de ce projet financier pharaonique lancé par la Commission en 2012, et qui doit être opérationnel d’ici 2023. Une union dans l’union en quelque sorte, dans laquelle il faut se méfier des faux-semblants.
“And I sincerely believe, with you, that banking establishments are more dangerous than standing armies; and that the principle of spending money to be paid by posterity, under the name of funding, is but swindling futurity on a large scale.”
Thomas Jefferson
«Et je crois sincèrement, avec vous, que les établissements bancaires sont plus dangereux que des armées régulières; et que le principe de dépenser de l’argent pour être payé par la postérité, sous le nom de financement, n’est qu’une escroquerie future à grande échelle.»
Thomas Jefferson
Le 15 avril, Michel Barnier se félicitait de la banking union, un accord historique en un temps record. Deux ans tout de même. Quant à l’historicité de l’accord, ce n’est qu’un début, le combat continue.
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